Thérapie pour traiter le post partum difficile
- Le baby-blues (fréquent et temporaire) peut se transformer en dépression post-partum si la tristesse et l’épuisement persistent.
- Un accouchement difficile ou traumatique (complications, césarienne en urgence, violence obstétricales) peut laisser des séquelles émotionnelles.
- Une pression sociale et personnelle pour un être un parent “parfait” peut générer une grande culpabilité et un sentiment d’échec.
- Certaines mères ressentent un manque de lien immédiat avec leur bébé, ce qui peut générer de l’angoisse et de la culpabilité.
- Un bébé aux besoins intenses (pleurs fréquents, difficultés de sommeil, reflux, coliques) peut être très éprouvant.
- Un entourage peu présent ou critique peut accentuer le sentiment d’isolement.
- Une charge mentale écrasante sans aide peut mener à l’épuisement
- Des difficultés conjugales ou une incompréhension du partenaire peuvent accentuer le mal-être.
- Des traumatismes passés (maltraitance, deuil, IVG, fausse couche…) peuvent ressurgir après la naissance.
- Une histoire de troubles anxieux ou dépressifs peut augmenter le risque de dépression post-partum.
Un post-partum difficile n’est pas une fatalité, mais il est essentiel d’être bien entouré(e) et accompagné(e).
L’hypnose, en complément d’un suivi médical, peut aider à surmonter ces défis en travaillant sur l’anxiété, la fatigue émotionnelle et la reconstruction du lien avec soi-même et son bébé.
Chaque parent mérite d’être accompagné avec bienveillance dans cette période unique et parfois éprouvante.